Causes de dépérissement des végétaux :
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Voici une liste non exhaustive de causes de dépérissement des plantes dans les jardins :
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Absence ou insuffisance de taille de la ramure très importante, avant plantation, ou au départ de la végétation de la première année de plantation. D'où déséquilibre entre le système racinaire et la ramure à la reprise.
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Apport inaproprié de crotin de cheval frais à la plantation, ayant brûlé le système racinaire. Utiliser de préférence du fumier bien décomposé et non frais.
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Arrosage à la plantation, avec un arrosoir utilisé précédemment pour du désherbage total des allées, et non rincé après cette opération. Donc intoxication immédiate de la plante.
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Arrosage à répétition avec de l'eau très froide, provenant d'un puits ou forage, bloquant la végétation des plantes. Donc laisser l'eau remonter en température avant son utilisation.
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Arrosage avec de l'eau de la vaisselle (SOLLYA près de la fenêtre de cuisine)
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Arrosage avec de l'eau de lavage du sol (Vigor sur DAPHNE)
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Arrosage avec de l'eau provenant d'un récupérateur d'eau de pluie, alimenté de la toiture mais contaminée par du produit anti-mousse, extrèmement nuisibles aux plantes.
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Arrosage réalisé avec de l'eau trop riche en fer, issue d'un récupérateur d'eau de pluie, rouillé, ce qui modifie la composition chimique de l'eau, la rendant toxique.
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Asphyxie racinaire en terrain trop compacté, à cause du piétinement occasioné.
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Bassinage du feuillage en plein soleil en période de forte chaleur.
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Désherbant spécial gazon, de chez soi ou provenant de chez le voisin, voir le désherbant maïs du champ d'à côté, apporté par un léger vent, et provoquant ainsi une décoloration jaune paille régulière du feuillage de certains arbustes très sensibles comme les CEANOTHUS...
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Eclaboussures provenant de produit lustrant de voiture.
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Eclaboussures provenant de l'eau de la piscine, ou des remous de la filtration.
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Enlèvement d'un tuteur mal réalisé ou jamais réalisé, sur un arbre tige.
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Epandage de lisier issu du champ voisin, brûlant le feuillage.
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Excès d'engrais à libération trop rapide, parfois en sol trop sec.
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Froid et surtout le vent d'hiver, car la température ressentie par nous-même, les animaux et les plantes, s'abaisse d'un degré par tranche de 10 km/heure de vent, à additionner bien sûr à la température théorique sous abris, donnée par la Météo Nationale.
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Galeries de taupes et de campagnols, et produits pétroliers tels que gas-oil utilisés pour détruire ou faire fuire ces rongeurs.
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Gravats laissés dans le sol après une constuction, ciment, plâtre, produits divers... en général à pH calcaire, nuisible aux plantes calcifuges (n'aimant pas le calcaire).
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Griffures de chats, qui font leur griffes sur le bas des troncs d'arbres sur tige. De même que les dégats occasionés par les cervidés, et les lapins.
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Innondation par de l'eau salée. exemple sur haie de THUYA plicata Atrovirens.
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Kérosène des avions, largué à trop faible altitude avant leur atterissage.
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Manque d'eau en période estivale ou hivernale, dans une culture en bacs ou en jardinière ou arrosage uniquement quand la plante donne des signes de faiblesse, les persistants étant plus lents que les caducs à montrer leur déshydratation, il est parfois trop tard.
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Mise en attente dans un appartement, d'une plante destinée à la plantation en jardin, sans arrosage conséquent, évitant la déshydratation en atmosphère sèche.
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Plantation dans une terre rapportée, issue de champs de culture de maïs ou autres, ayant été désherbés chimiquement pendant de nombreuses années avec des produits à base de Simazine et Atrazine, nuisibles aux plantes des jardins.
Ou encore terreaux et composts issus d'une déchetterie, ayant été mélangés avec différents matériaux, déchets de gazons et de tailles, terres contaminées avec des huiles de vidanges.
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Plantation sur un blockhaus recouvert de terre, sans arrosage supplémentaire pour compenser le drainage occasionné par la construction.
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Plantations sur une bâche plastique, ne permettant pas un bon travail du sol, ou empêchant la plante de profiter de la pluie en période sèche.
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Présence d'une fosse septique à proximité de plantations, intoxiquant le système racinaire qui s'en approche, ou eaux de ruissellement provenant de ces fosses.
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Rajout d'une certaine hauteur de terre autour du pied d'un arbre en isolé.
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Ruissellement des eaux de lavage d'une façade avant son ravalement, chargée d'eau de Javel
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Ruissellement des eaux de lavage de voiture sur parking bitumé.
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Système racinaire endommagé lors de la plantation.
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Taille des arbustes persistants réalisée en automne ou en cours d'hiver, provoquant un redémarrage de la végétation lors du repos hivernal, donc un affaiblissement de la plante pour affronter un passage climatique futur défavorable.
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Traitements phytosanitaires non adaptés, et généralement surdosés, avec bien souvent de la bouillie bordelaise (cuivre) sur des plantes en pleine végétation.
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Urine de chiens ou de chats, ces derniers prenant la terre meuble d'une nouvelle plantation pour une litière. De plus, en sol sec les toxines sont concentrées et donc plus nuisibles. Sachant qu'il arrive que les chiennes lèvent aussi la patte pour uriner sur une plante...
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Utilisation d'un désherbant foliaire à base de Glyphosate (ROUNDUP), dans un massif sans un cache herbicide évitant la diffusion d'un brouillard allant sur les feuilles de la base des végétaux.
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Utilisation d'une débroussailleuse à fil nylon, au ras des troncs d'arbres en isolé sur la pelouse, abîmant ainsi l'écorce et provoquant des pourritures au ras du sol.